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Un compte Instagram qui te ressemble

Instagram : un livre pour un compte qui te ressemble

J’ai lu pour toi le livre de Yasmine Bohéas (alias Bonjour La Smala) : « Un compte Instagram qui vous ressemble ». Voici ce qu’il faut en retenir !

Voici quelques jours, j’ai reçu une surprise dans ma boîte aux lettres. Un joli petit livre signé Yasmine Bohéas et paru aux éditions Eyrolles (mon éditeur).

Intitulé « Un compte Instagram qui vous ressemble« , ce guide s’adresse aux créatifs et entrepreneurs qui veulent se lancer ou s’améliorer sur Instagram.

Couverture du livre Un compte instagram qui vous ressemble

Pour l’autrice, il n’y a pas de recette magique pour réussir sur cette plateforme : « c’est votre personnalité, votre univers, votre histoire qui produiront l’émulsion autour de votre activité ou votre passion« .

Dans ce livre, elle t’apporte bien sûr des méthodes (définir ses objectifs, optimiser son profil, créer du contenu engageant, utiliser les fonctionnalités d’instagram, etc.), mais aussi de nombreux conseils pratiques et des exemples inspirants.

Tu l’as compris : j’ai trouvé ce guide utile et efficace. Voici donc un aperçu de ce que tu y trouveras.

Étape 1 : Définir ta stratégie sur Instagram

Dans cette première partie, Yasmine attire l’attention sur les évolutions récentes d’Insta, appli qui a déjà 13 ans d’existence. “Désormais les utilisateurs sont à la recherche du vrai. Ils veulent continuer de s’inspirer ici ou là. Cependant, ils souhaitent une vraie connexion derrière l’écran. Ils veulent suivre des personnes qui ne montrent pas que le beau à tout prix”.

Parmi les évolutions importantes à retenir : le succès des réels et des carrousels, l’importance du storytelling, de l’authenticité et de la création de liens.

Elle t’invite ici à travailler sur ta stratégie en amont. Tu retrouveras dans cette partie les fondamentaux du marketing. À savoir :

  • travailler sur ton identité de marque (vision, mission, valeurs, personnalité, positionnement),
  • définir un objectif SMART,
  • utiliser le storytelling,
  • avoir un branding fort et impactant (identité visuelle et ton),
  • définir tes piliers de contenus,
  • t’adresser à une cible précise (méthode des personas),
  • et enfin créer une communauté

Étape 2 : Opter pour des contenus engageants et des formats adaptés

Dans cette 2ème partie, tu vas notamment apprendre à créer des stories pour te connecter aux autres (conseils pour une story réussie, 8 idées de stories qui engagent etc).

Autre format recommandé : les reels pour informer et montrer ta personnalité (conseils pour un reel réussi, des outils pour trouver les bonnes accroches, les étapes de réalisation d’un reel…)

Enfin, Yasmine t’encourage à réaliser des lives pour confirmer ton expertise et vendre.

Étape 3 : T’organiser pour 100% d’efficacité

Tu le sais, créer du contenu peut vite devenir chronophage. C’est pourquoi Yasmine partage dans cette partie ses conseils pour gérer ton temps, passer moins de temps sur Insta, lâcher prise sur un feed parfait…

Pour ma part, j’ai lu avec beaucoup de plaisir chapitre 9 “Développer ses talents d’écriture”. Il met l’accent sur l’importance de la légende, le fait de raconter des histoires.

Ta page n’est pas seulement une vitrine rappelle Yasmine. “Elle doit être le reflet des relations que l’on noue aussi dans la vie, au jour le jour. Il faut arriver à montrer comment vous vous comportez réellement avec vos clients. Comme lorsqu’on rencontre une super vendeuse : on se salue puis on sympathise, on parle de sujets divers et variés”.

Elle partage ainsi 6 règles d’or pour écrire de manière efficace. Je retiens tout particulièrement la n°3 “être clair et concis”. C’est à dire faire des phrases courtes et directes, conjuguer le plus possible au présent, utiliser des mots simples et éviter le jargon technique !

Enfin, Yasmine termine son ouvrage par des retours d’expérience. J’ai notamment découvert avec beaucoup d’intérêt les jolis comptes et le travail de l’Atelier Paolo (tufting) et d’Éloïse Dubois (céramique).

Si tu ressens le besoin de mieux communiquer sur Instagram, je te recommande donc ce guide. Et pour faire le point sur ton compte et ta prise de parole, n’oublie pas que tu peux aussi prendre rendez-vous pour un audit de communication offert.

Je t'offre ma veille professionnelle

La veille professionnelle : pour une stratégie de contenu réussie

La veille professionnelle, c’est LE secret d’une stratégie de contenu au top. Découvre mes liens inspirants sur la communication, l’écriture et l’entrepreneuriat.

Si tu es déjà abonnée à ma newsletter, tu le sais sans doute. Je partage avec toi une sélection des contenus que j’ai trouvés utiles et inspirants au cours des jours précédents.

Mon objectif : nourrir tes connaissances et tes réflexions. Mais aussi t’encourager à mettre en place ta propre veille professionnelle.

Pourquoi ? Pour rester à l’affût des évolutions de ton secteur d’activité, de la communication ou des tendances sociales.

C’est, en effet, le meilleur moyen pour identifier et saisir des opportunités de développement de ton activité. Mais aussi pour nourrir ta stratégie de contenus.

Parce qu’avoir un système de veille d’information, c’est t’assurer d’avoir toujours des idées de sujets sur lesquels prendre la parole.

Je t’en dis plus dans cet article : organise ta création de contenus en 4 étapes.

Je compile pour toi ma veille professionnelle

Pour t’aider à nourrir ou commencer ta propre veille, je te propose un petit cadeau ! J’ai en effet compilé et classé tous les liens inspirants partagés ces deux dernières années dans la newsletter.

Et c’est en accès libre juste ici !

Voici toutes les thématiques que tu y trouveras :

  • L’écriture
  • Les newsletters
  • La création de contenu
  • La communication et la communication responsable
  • Les réseaux sociaux
  • Le SEO
  • L’entrepreneuriat
  • L’entrepreneuriat féminin
  • L’argent
  • La vie pro, l’organisation, la gestion du temps
  • Les femmes et le féminisme
  • Les recommandations médias
  • Les inclassables

Bien sûr, cette compilation sera mise à jour et complétée régulièrement. Mais pour recevoir en avant-premier mes liens inspirants, le mieux, c’est encore de t’abonner à ma newsletter 🙂

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Pourquoi faire un audit de communication

Audit de communication : pourquoi le faire et comment ?

L’audit de communication est l’étape indispensable pour élaborer une stratégie de communication efficace. Je t’explique ici pourquoi et comment le réaliser. Et si tu as besoin d’aide, je te propose aussi un audit express gratuit d’un de tes supports de communication.

Sur le papier, faire l’audit de sa communication paraît plutôt simple.

Il s’agit d’analyser et évaluer ses actions de com’ pour s’assurer qu’elles sont alignées avec ses objectifs stratégique (là où on veut mener son business) et qu’elles sont efficaces. Pour pouvoir, si besoin, les réorienter ou les optimiser.

Cet audit de communication sert ainsi à identifier, de manière plus fine, ses lacunes.

Par exemple : ne pas être présent sur un canal important, publier de manière trop irrégulière, toujours sur les mêmes sujets… Ou encore souffrir d’une image trop floue auprès de ses clients.

L’audit peut aussi être l’occasion d’aller étudier comment communiquent les concurrents. Et peut-être s’inspirer de (mais pas copier !!) leurs bonnes pratiques.

Comment faire l’audit de sa communication ?

En premier lieu, il s’agit d’être très clair sur les raisons de cet audit. S’agit-il d’améliorer les résultats de la communication ? Ou alors de lancer une nouvelle stratégie de com’, à l’occasion d’un nouveau produit ou d’une refonte de l’identité de marque ?

Puis, vient le moment de collecter les données. C’est à dire de rassembler toutes les infos pertinentes sur les actions de communication. Cibles, canaux utilisés, messages diffusés et, bien sûr, retombées.

Il s’agit par exemple de recueillir des statistiques sur le site web (trafic, comportements de navigation), sur les réseaux sociaux (profil des abonnés, engagement…) ou sur la newsletter (taux d’ouverture, de clic…).

Il est aussi recommandé d’interroger son audience ou ses clients sur l’image que l’on renvoie. Soit via un questionnaire soit via des entretiens individuels.

Etape suivante : analyser toute cette matière pour repérer ce qui fonctionne bien et ce qui doit, au contraire, être amélioré. Cela permettra alors de formuler un plan d’action et de définir un calendrier de mise en œuvre.

Comme tu l’as compris, mener une démarche complète d’analyse et de refonte de ta com’ est très utile. Mais peut aussi se révéler chronophage. Et parfois difficile à mettre en œuvre toute seule.

C’est pour cela que j’ai imaginé pour toi une alternative…

Opte pour l’audit de com’ express gratuit

Souvent, bénéficier d’un regard extérieur et expert sur tes outils de communication suffit pour repérer les principales pistes de progrès possible. Et pour savoir comment communiquer de manière plus efficace et plus alignée.

Alors, c’est tout nouveau : à la place d’un traditionnel « entretien découverte », je te propose désormais de réserver ton créneau pour un audit de com’ express offert.

Un échange de 20-30 mn qui nous permettra de faire connaissance (ou, si l’on se connaît déjà, de se donner des nouvelles ^^). Et surtout de commencer à analyser ensemble ta communication. Bonus : tu repars avec 3 pistes d’actions pour l’améliorer !

Pour en bénéficier, voici les règles du jeu :

  • tu sélectionnes un créneau dans mon Calendly
  • tu attends mon mail, dans lequel je te demanderai le lien vers la page web, le profil de réseau social ou encore la newsletter que tu souhaites faire analyser
  • tu réponds à un rapide questionnaire sur tes problématiques et besoins en matière de communication
  • le jour J, on se retrouve sur zoom (ou par téléphone si tu es plus à l’aise). Je te fais un retour sur les points forts et points à améliorer (fond et forme) que j’ai repérés, puis je te propose 3 pistes d’action prioritaires.
  • je t’interroge aussi sur tes pratiques et objectifs, de manière à pouvoir te proposer, si tu le souhaites, une prestation d’accompagnement en communication adaptée à ton besoin

Alors, envie de tester ?

Clique ici pour réserve ton audit de communication gratuit
Écrire son manifeste de marque

Écrire son manifeste : pourquoi et comment ?

Écrire son manifeste de marque, c’est le meilleur moyen pour communiquer sur ta vision et tes convictions. Donc pour mettre en avant ta différence et ton authenticité. Découvre ici des conseils, des exemples et même un atelier d’écriture pour t’aider à rédiger ton manifeste.

« Déclaration écrite et publique » pour exposer « un programme d’actions ou une position, le plus souvent politique ou esthétique ». Voilà ce qu’est un manifeste (ou manifesto).

Oui, mais pourquoi écrire son manifeste de marque ? D’abord pour communiquer de façon claire et précise sur ta raison d’être d’entrepreneuse.

Cette raison d’être, c’est ce qu’on appelle aussi ton « why » ou ton « pourquoi » (en référence au best-seller de Simon Sinek Start With Why).

On emploie aussi souvent le terme « vision » : c’est à dire la manière dont tu vois, imagines, rêves le monde idéal.

Ta raison d’être d’entrepreneuse, c’est donc ton rôle, ta mission, ta contribution à l’intérêt général, au-delà de ta seule activité économique et de la recherche de profit.

Ce n’est pas un détail. D’ailleurs, depuis 2019, la loi permet aux entreprises d’intégrer officiellement leur raison d’être à leurs statuts.

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Pourquoi communiquer sur ta raison d’être ?

D’abord pour le plaisir ! Cela peut en effet t’apporter beaucoup de bien-être de prendre la parole sur tes convictions. Surtout en ces temps complexes, qui nous mettent souvent à rude épreuve.

« Le bonheur, c’est quand vos pensées, vos paroles et vos actes sont en harmonie », aurait dit Gandhi (ou peut-être est-ce Indira Gandhi, les sources divergent ^^ ?).

Affirmer ta vision pour le monde et être capable d’en parler de manière claire et engageante, c’est d’abord exprimer ta différence. Et te poser en meneuse plutôt que « suiveuse ».

C’est aussi laisser voir ton authenticité et créer une connexion profonde, et même émotionnelle, avec ton audience.

En effet, les consommateurs sont de plus en plus nombreux à attendre des marques des engagements et des valeurs !

Rédiger ton manifeste de marque te sert aussi à mieux communiquer avec tes (futurs) partenaires. Il te permet en effet d’affirmer avec force tes ambitions et attentes. Et de vérifier que les professionnels avec lesquels tu vas collaborer sont en phase avec tes valeurs.

Bien entendu, ton manifeste doit traduire tes engagements profonds et véritables. Pas question de faire dans le green, social, pink ou encore rainbow washing (c’est à dire d’afficher uniquement pour faire « joli » des valeurs écolos, sociales, féministes ou encore LGBT+)

Enfin, son rôle est aussi de guider tes actions et tes choix entrepreneuriaux. Qu’il s’agisse de la construction de ton offre, de la sélection de tes fournisseurs, de tes modes de production, de distribution, de communication…

Des inspirations pour t’aider à écrire ton manifeste de marque

Au fil de ma veille professionnelle, j’aime collectionner des exemples de manifestes de marque. Je te recommande d’aller les visiter pour mieux comprendre la liberté qui s’offre à toi quand il s’agit d’écrire ce texte !

  • Mon manifesto :). Comme premier exemple, je te propose de lire mon propre manifeste. Il m’a été inspiré par une lecture qui m’a guidée, voici quelques années, quand je repensais le fond et la forme de mon activité. Je replace ma mission (= apprendre aux femmes à mieux prendre la parole, notamment par écrit, pur donner de l’ampleur à leurs projets entrepreneuriaux) dans une vision plus large. Celle d’une société qui place les valeurs d’égalité et de coopération au cœur de son fonctionnement, afin de répondre aux défis de la transition écologique.
  • Le manifeste de Laura Peterman. Elle est la talentueuse directrice artistique de mon site. Il va sans dire que nos valeurs fortes communes ont joué un rôle clé dans ma décision de lui confier mon identité de marque ! Dans son manifeste, elle exprime sa vision du marketing et du design. Ce que ça n’est pas (« forcer les gens à acheter ce dont ils n’ont ni envie ni besoin »). Et, à l’inverse, ce que c’est ! (« Identifier ce qui rend votre entreprise merveilleusement unique »).
  • Dans sa toute première édition, la newsletter Vives (consacrée à la place des femmes de plus de 45 ans) a publié son manifeste. Ce texte s’ouvre sur le constat (chiffres et tendances). Puis s’interroge : « Voulons-nous que ces femmes deviennent des victimes économiques ? ». Et enfin répond clairement « Non » et explique quelle forme prendra cet engagement.
  • Dans ce texte très long et très complet, les fondateurs de la plateforme Marketing Flow détaillent tous leurs engagements !
  • Chez Strikingly, le manifeste prend la forme d’un véritable « credo » (ce en quoi la marque croit).
  • Un manifeste peut aussi être très concret dans son propos : voir ainsi celui de Skin & Out, marque de cosmétiques anti-acné.
  • On termine par un texte un peu différent : celui d’un auteur qui a rédigé un manifeste de l’écriture.

Comment écrire ton manifeste ?

Comme tu le vois au travers de ces exemples, le manifeste est un texte très libre. Sur le fond comme sur la forme.

Toutefois on retrouve quelques points communs, dont tu peux t’inspirer pour rédiger ton texte :

  • C’est un texte souvent assez court et synthétique. Il est structuré avec des titres, des sections, des paragraphes pour mieux s’y retrouver.
  • Sur le fond, on retrouve une présentation du problème ou danger auquel la marque a décidé de s’attaquer. Il ne faut pas hésiter à nommer ce qui te met en colère ou te fait peur. Voire à extrapoler jusqu’à la dystopie : ce que pourrait devenir le monde si cette menace devenait encore plus lourde, réelle…
  • Il est tout à fait possible de nommer, voire de dénoncer, les fausses solutions qui te paraissent à côté de plaque
  • Dans ton manifeste, tu peux caractériser les personnes ou organisations auxquelles tu t’adresses. Par exemple, le manifeste d’Inspiration Créative s’intitule « Soyez fiers d’être créateurs« .
  • Tu peux ensuite évoquer ta vision (= ton monde idéal, ton utopie), et ta mission (= ton action concrète pour construire cette utopie). Tu peux aller jusqu’à présenter (sans trop de détails) la forme de tes offres.
  • Enfin, tu peux lister tes valeurs ou encore évoquer l’éco-système sur lequel tu t’appuies pour donner plus de poids à ton action.
  • Comme tout texte en ligne, je te conseille de terminer par un appel à l’action. Pour que le lecteur embarqué par ton discours puisse s’engager d’une certaine manière avec toi.

Un atelier pour apprendre à écrire ton manifeste

Tu as désormais les cartes en main pour rédiger ta déclaration de marque !

Si toutefois tu as envie d’être accompagnée dans cette démarche, voilà une information qui t’intéressera. Je teste un nouveau format d’atelier d’écriture à Villeurbanne (69), ce mardi 26 septembre à 17h pour le collectif d’entrepreneuses Fœmina Lyon.

Si tu souhaites y participer (c’est gratuit !), envoie-leur un DM via Insta 🙂

Adopter la communication minimaliste

Communication minimaliste : pourquoi et comment l’adopter

Less is more : tel est le mantra de la communication minimaliste. Une communication qui va à l’essentiel, vise la qualité plutôt que la quantité, et se veut plus responsable. Voici des conseils et ressources pour adopter, toi aussi, une communication plus qualitative et plus durable.

Dans un récent post linkedin, Neil Patel, expert américain en marketing digital, affirme : « I have a simple formula for success: LESS IS MORE. » (= ma recette du succès est simple : moins, c’est plus).

Il parle plus spécifiquement de marketing par email (selon lui, les mails les plus simples sont les plus performants).

Mais ce « less is more » ne pourrait-il pas s’appliquer à toute la communication ?

C’est, en tout cas, l’idée qui est à l’origine de ma quête de simplification (de mon offre, de ma manière de gérer mon business, mais aussi de mes prises de paroles).

Parce que je suis convaincue que notre modèle économique doit s’orienter vers d’avantage de sobriété voire de décroissance. (Voir mon article sur la sobriété entrepreneuriale).

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Pourquoi miser sur la communication minimaliste ?

Le minimalisme, c’est d’abord un concept qui s’est imposé dans l’architecture et le design. En particulier avec le mouvement Bauhaus. L’objectif : supprimer le superflu, les fioritures, aller à l’essentiel et au fonctionnel.

Alors pourquoi vouloir l’adapter à la communication ? Tout simplement pour lutter contre l’infobésité, ou overdose d’information, qui nous touche tous. Créateurs de contenus, lecteurs, consommateurs, citoyens…

Principale raison de cette explosion de contenus : le développement sans fin des technologies numériques.

Cette situation présente des aspects positifs. Ainsi l’information n’est plus aujourd’hui un bien rare, dont la production est réservée à une minorité.

Mais cela ne va pas sans conséquences néfastes :

  • une compétition féroce pour capter l’attention, toujours plus ténue, des audiences.
  • des difficultés à faire le tri entre les informations utiles, authentiques, crédibles, sérieuses, originales, bénéfiques etc… et les multiples fakenews, informations putaclic, contenus copiés-collés, parfois dangereux pour la santé mentale, voire pour la sécurité de leurs destinataires.
  • des personnes atteintes de FOMO (fear of missing out), qui deviennent addict à leur téléphone, développent des troubles du sommeil.
  • des créateurs de contenus en quasi burn out pour assurer leur visibilité face à des algorithmes des plateformes de plus en plus exigeants. (J’ai d’ailleurs l’impression qu’un certain nombre, comme Thomas Burbidge, ont profité de l’été pour faire une digital detox et reprendre des forces)
  • une surproduction/surconsommation de contenus contraire au changement de trajectoire que nous impose le défi environnemental.

Si tu as pour ambition de développer un projet positif pour ta communauté, compatible avec les limites planétaires, alors tu dois t’interroger sur l’impact de ta communication.

Comment adopter une communication plus sobre ?

Autant être franche : c’est loin d’être facile. Car tout nous invite à participer sans retenue à la bataille pour l’attention. En produisant des contenus toujours plus nombreux, toujours plus gourmands en ressources (la vidéo), toujours plus divertissants.

Pourtant, de plus en plus de personnes ont compris que les marques et les professionnels ont un rôle à jouer pour changer la trajectoire de notre économie. Adopter une stratégie de contenu responsable, c’est aussi répondre à cette exigence-là. Et c’est un projet enthousiasmant !

Opter pour une communication minimaliste, c’est un cheminement. Un processus d’amélioration continue en plusieurs étapes et plusieurs axes.

Voici quelques pistes d’action que tu peux expérimenter pour appliquer la maxime « Less is more » et ainsi mieux maîtriser l’impact de tes prises de paroles :

  • Avoir une stratégie de communication claire et précise. Savoir quel est ta priorité (le message à faire passer, l’audience à toucher, les résultats à atteindre…) va t’aider à ne pas te disperser. Et donc éviter des communications inutiles.
  • Éviter l’hyper-segmentation de ton offre. Plus tu dois t’adresser à des audiences différentes, plus tu dois multiplier tes actions de communication.
  • Épurer ton message, aller à l’essentiel. Favoriser les contenus qui créent vraiment du lien, de l’échange. (Rappel : communiquer signifie « mettre en commun » et non pas prendre la parole à sens unique). Dans cet article (en anglais) sur la surproduction de contenus, le responsable d’une agence de marketing d’influence affirme : « Il ne s’agit pas d’être celui qui crie le plus fort. Mais de créer des connexions personnelles et de générer de l’impact culturel. On l’obtient souvent en faisant moins que plus' ».
  • Opter pour une identité visuelle minimaliste : moins de couleurs, en particulier foncées, des polices qui consomment moins d’encre à l’impression, des mises en page claires et aérées pour mieux faire passer le message essentiel…
  • Adopter la tendance « slow content » : publier des contenus moins fréquents mais plus fouillés, qui apportent une réelle valeur ajoutée à l’audience. Eviter, donc, de publier pour occuper le terrain ou imiter ses concurrents. Et choisir des messages qui contribuent à faire évoluer les mentalités et pratiques dans le bon sens. Un exemple inspirant : le contenu publié par Itinéraire bis, un collectif qui inciter les acteurs du tourisme à faire évoluer les représentations autour du voyage.
  • Choisir des canaux de communication plus légers, moins gourmands en bande passante et en énergie. Le poids des pages web a été multiplié par 5 depuis 2010. Veiller à adopter des pratiques d’éco-conception pour son site web (réduire le nombre et le poids des pages, notamment en veillant à celui des photos et vidéos, s’assurer qu’il est compatible avec des appareils plus anciens etc.). Voici également des conseils pour limiter l’impact carbone de ta newsletter. Autre bonne pratique à adopter : supprimer régulièrement les contenus obsolètes !
  • Ou encore, limiter voire abandonner le recours à certains formats de communication : communication print, goodies publicitaires, contenus vidéos…

Des ressources pour aller plus loin

Pour t’aider à approfondir ta démarche de communication minimaliste, voici 3 ressources complémentaires que j’ai trouvées utiles :

Faire le point sur tes objectifs pro et perso

Comment faire régulièrement le point sur tes objectifs pro et perso

Il fait chaud, tu profites peut-être (je l’espère) d’une pause estivale. Et si tu prenais quelques minutes, voire quelques heures en tête à tête avec toi-même, pour faire le point sur tes objectifs ?

C’est devenu une tradition pour moi, depuis que je travaille à mon compte. Chaque début d’année et chaque été, je fais le bilan de mon activité et le point sur mes objectifs.

Identifie tes réussites professionnelles et personnelles

L’idée : reprendre les objectifs fixés en début d’année (que tu les aies écrits noir sur blanc ou seulement formulés dans ta tête). Afin d’évaluer ta progression : les objectifs ont-ils été atteints ? en bonne voie de l’être ? finalement abandonnés ? Pour quelles raisons ?

Surtout ne te limite pas aux objectifs strictement professionnels. C’est aussi le moment de penser à ton épanouissement personnel. D’autant plus qu’il est parfois difficile de différencier ces deux domaines quand on a fait de sa passion ou de son engagement son métier !

Objectifs : célébrer tes avancées des derniers mois et pouvoir redresser le cap si tu as dévié de tes orientations initiales.

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2 fiches bilan offertes pour faire le point sur tes objectifs

Pour t’aider dans cet exercice, voici donc 2 tableaux à télécharger gratuitement et à imprimer chez toi.

  • une Fiche bilan des 6 mois
  • une Fiche bilan mensuel pour passer en revue, chaque fin de mois, l’évolution de ton business ou de ton projet.

Obtiens-les en rejoignant les abonnées à ma newsletter 🙂

Pour ma part, j’utilise depuis plusieurs années le même document pour planifier et suivre l’avancée de mes objectifs. En début d’année, je fais ainsi le bilan de l’année et j’écris noir sur blanc mes priorités professionnelles et personnelles. Dès que le besoin se fait sentir, quand je sens que j’ai le nez dans le guidon et que je manque de recul, je les consulte.

Fixe-toi un cap pour les 6 prochains mois

L’étape suivante est bien entendu de te projeter dans les mois à venir et de te fixer de nouveaux objectifs et nouvelles échéances, pour guider tes actions.

Par exemple, mon principal objectif 2023 (pas encore atteint) le lancement de programmes online en semi-autonomie pour t’apprendre à mieux communiquer.

Autre projet : renouveler le format de visio « SOS com » testé en juin dernier.

Ces deux axes de progression me tiennent à coeur car ils s’inscrivent complètement dans mon intention de l’année 2023 : Je simplifie.

Et toi ? As-tu prévu (ou réalisé) ton bilan de milieu d’année ? Quelle conclusion en tires-tu ?

3 pistes pour gagner en sérénité

Organisation : Comment gagner en sérénité

Que tu sois entrepreneuse à plein temps ou en complément d’une activité salariée, ta gestion du temps est sans doute un défi. Rassure-toi, tu n’es pas la seule à rechercher une meilleure organisation et à gagner en sérénité.

Pour moi aussi, l’organisation et la gestion du temps a longtemps été un sujet de prise de tête réflexion. Et elle revient régulièrement au coeur de mes préoccupations, lorsque les rendez-vous, les deadlines s’entrechoquent, et que les journées semblent trop courtes pour faire tout ce qui était prévu.

Petit à petit, j’ai appris à lâcher prise sur cette question. J’ai compris que le but même d’une to-do-list est de résister à toutes les tentatives d’en venir à bout 😉 .

J’ai fini par accepter de m’écouter : si je procrastine régulièrement une tâche, c’est tout simplement parce qu’elle ne m’intéresse pas tant que ça.

Si elle n’est pas vitale pour mon activité, autant la supprimer tout simplement. Et si elle est incontournable, alors la remettre au lendemain jusqu’au jour où l’on n’a vraiment plus le choix n’est pas si terrible que ça !

Pour t’aider à prendre toi aussi du recul sur ton organisation et à gagner en sérénité, voici 3 conseils qui te seront utiles.

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Piste 1- Ne cherche pas l’organisation parfaite, cherche l’organisation qui te ressemble!

Bien te connaître te permettra d’adopter une organisation (ou une non-organisation) qui fonctionne pour toi !

Par exemple, je ne suis jamais aussi efficace et rapide dans mon travail que lorsque je suis proche de la deadline. Certaines personnes stressent et paniquent à l’idée de faire les choses au dernier moment. Pour moi, le côté « challenge » me motive et me force à être meilleure que si je m’y étais prise plus tôt.

Pas question, donc, de chasser le naturel : au contraire, il faut pouvoir t’appuyer dessus !

J’ai réalisé aussi que, même si mon emploi du temps ressemble souvent à un joyeux bazar, je parviens à réaliser le boulot nécessaire. Mes client.e.s sont satisfaits, j’arrive à concrétiser la plupart de mes projets, même s’ils prennent un peu plus de temps que prévu…

Et finalement, je fais mon business. Bref, je ne suis pas parfaite, mais je suis « suffisamment bonne ». Et c’est bien ainsi.

L’objectif, à mon sens, n’est ni d’être LA plus productive, ni d’être irréprochable. Si une organisation un peu freestyle te convient et te permet d’atteindre tes objectifs sans (trop de) casse, alors pas la peine de te laisser « polluer » par les rois et reines du bullet journal, de l’inbox zero ou du GTD.

Piste 2- Limite la longueur de ta to-do list pour gagner en sérénité

Rien de pire pour te démotiver qu’une to-do list à rallonge qui ne semble jamais pouvoir s’achever…

Pour l’éviter, deux solutions !

La première est de de réaliser immédiatement les tâches faciles et rapides. Par exemple, il vaut mieux planifier chaque jour une ou deux plages horaires pour consulter et traiter tes mails. Plutôt que de le faire en parallèle d’autres tâches et de te retrouver à inscrire sur ta to-do de répondre à untel….

La deuxième solution est de limiter drastiquement le nombre de tâches sur ta to-do list quotidienne. Certains préconisent de se limiter à une seule tâche essentielle, d’autres au nombre de 6. Le chiffre importe peu !

L’important est de te forcer à prioriser, d’éviter le multi-tasking, d’évaluer de manière plus précise le temps nécessaire pour chaque tâche, ou encore de garder du temps pour toi ou pour faire face aux éventuelles urgences.

Piste 3- Teste plusieurs outils pour trouver celui qui te convient

Pas le choix : pour savoir quel outil est le mieux adapté à ton fonctionnement, il faut prendre le temps de les tester.

Pour ma part, j’ai beau adorer la jolie papeterie, les carnets, les planners,… il a fallu me rendre à l’évidence. Les outils numériques sont les plus pratiques pour moi. Il me permettent de tout centraliser, de modifier, et de pouvoir les retrouver partout, sur mon téléphone ou un ordinateur.

Au fur et à mesure, j’ai enfin trouvé ce qui fonctionne pour moi. C’est l’association entre Google calendar pour avoir une vue mensuelle des rendez-vous et échéances, et le logiciel Notion.

Il m’a fallu un certain temps pour le prendre en main, mais aujourd’hui je ne pourrais plus m’en passer. Cet outil remplace de nombreux autres logiciels et a surtout l’avantage d’être entièrement personnalisable !

Je créer un planning chaque semaine, avec mes tâches réparties par jour. Puis, chaque jour, j’identifie mes 3 tâches prioritaires, sur lesquelles je dois me concentrer.

Et toi, où en es-tu de ton organisation ? Quels sont tes recettes , outils et petits « secrets » pour mener à bien tes projets ?


Créer et respecter ton planning éditorial

Planning éditorial : comment le créer et le respecter

Établir une stratégie éditoriale ? Check ! Définir une ligne éditoriale ? Check ! Attention, ce n’est pas fini. Il te reste la dernière étape. Mettre en place ton planning éditorial (ou calendrier éditorial). Et voici quelques conseils pour bien t’y prendre.

Définir ta stratégie éditoriale, c’est bien. L’appliquer dans la durée est le secret pour obtenir des résultats. Et pour cela, pas de recette magique : il va falloir tenir le rythme. Et publier avec patience, régularité et constance.

Pour t’y aider, il existe un outil indispensable : le planning éditorial, également appelé calendrier éditorial.

Cet outil n’a rien de bien compliqué. Il s’apparente à un document qui, comme son nom l’indique, te permet de planifier et suivre tes publications sur ton blog et tes réseaux sociaux.

Son principal bénéfice : t’éviter le stress de la page blanche. Surtout au dernier moment, du style : « mince je n’ai rien publié cette semaine, qu’est-ce que je vais bien pouvoir raconter ? »

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À quoi sert un calendrier éditorial?

L’outil est bien sur indispensable lorsque plusieurs personnes contribuent à la rédaction/production de contenus.

Mais il s’avère aussi très utile si tu es seule derrière ton écran.

Parce qu’il te permet (entre autres) de:

> visualiser d’un coup d’œil un éventuel « trou » dans le calendrier

> de positionner à l’avance les dates importantes (fête des mères/pères, fin de l’année scolaire, soldes d’été etc.) et de prévoir des posts adaptés

> programmer des posts à l’avance pour profiter tranquillement de ton week-end ou de tes vacances

> retrouver facilement, sans avoir à remonter dans tes archives (ou pire, dans ton flux Facebook ou Twitter), les posts que tu as publiés

> te motiver, en te fixant des deadlines pour rédiger tes posts articles

> compiler dans un seul endroit les idées de posts qui ont la fâcheuse tendance à te venir sous la douche (et que tu notes un peu partout)

Comment mettre en place un planning éditorial?

Je vais peut-être te décevoir, mais il n’existe ni recette ni outil miracle.

Word, Excel, Evernote, Google calendar, un plugin spécifique ou un modèle de calendrier éditorial sous Notion : toutes ces options sont envisageables.

À toi de les tester et de choisir celle qui te convient le mieux. Car, je le rappelle, l’objectif principal est de tenir sur la durée!

Concernant les informations à indiquer dans ton calendrier éditorial, là encore, pas de modèle imposé.

Tu peux te contenter du sujet et de la date. Mais tu peux aussi indiquer la catégorie à laquelle il appartient, l’état de l’article (idée, en cours de rédaction, planifié), les liens ou illustrations qui s’y rapportent, les mots-clés de référencement etc.

Pour ma part, j’ai opté pour Notion. Mon calendrier regroupe plusieurs infos :

  • les posts en préparation pour le blog,
  • une liste d’articles plus anciens à repartager sur les réseaux sociaux,
  • le planning des sujets que je vais aborder dans ma newsletter mensuelle.

Comment respecter ton planning éditorial?

Parce que bien évidemment, c’est la question la plus importante!

J’ai tendance à penser que plus ce planning est structuré à l’avance, plus il est facile à respecter. Cela va te prendre un peu de temps au démarrage. Mais te permettra d’en gagner beaucoup pour la suite.

Il peut ainsi être utile de fixer des jours réguliers de publication de même que des « rendez-vous » par type de contenu. Ces rendez-vous peuvent être officiels (la « newsletter du vendredi », le DIY du lundi, la recette du week-end etc.). Ou ils peuvent être à ton usage uniquement, pour t’aider à mieux organiser ta création de contenus sur la semaine ou le mois.

Pour la rédaction des posts et la création de visuels, certaines personnes aiment « batcher ». C’est à dire créer plusieurs contenus à la chaîne, pendant, par exemple, une demi journée.

Une autre piste pour respecter ton calendrier et publier avec régularité : programmer tes posts à l’avance. Par exemple avec Hootsuite ou Swello.

Pour ma part, je préfère publier moins en quantité et garder un peu de souplesse dans mon organisation. Je rédige donc mes textes au fur et à mesure et je ne m’interdis pas de bousculer un peu le planning en fonction de l’inspiration.

Pour moi, c’est la garantie de garder un maximum de plaisir à appliquer ma stratégie de contenus. Ce qui est mon conseil ultime pour ne pas te lasser !

Et toi, as-tu mis en place un calendrier pour mieux planifier tes posts sur ton blog et/ou tes réseaux sociaux ? Si jamais tu peines à définir ta stratégie de contenus et que tu as besoin d’un œil extérieur, pense à réserver ton appel découverte 😉


Avoir un blog qui marche : 6 conseils

Faut-il encore avoir un blog… et comment s’y prendre ?

Non, le blogging n’est pas mort, loin de là ! Avoir un blog est encore une manière efficace de t’exprimer et dinformer ton audience. Voici 6 conseils pour commencer ou continuer à bloguer avec plaisir et régularité.

Pour t’exprimer, faire passer tes messages ou faire connaître ton projet, as-tu envisagé d’avoir un blog ? Ou peut-être de relancer celui que tu avais créé voici quelques années… avant de te faire happer, un peu malgré toi, par Instagram ?

(NB : Si tu le regrettes, découvre ici 10 pistes pour passer moins de temps sur les réseaux sociaux)

Avoir un blog peut sembler « so 2010 » ^^. Et pourtant, le blog est, encore aujourd’hui, le meilleur endroit pour:

  • publier tes contenus propres,
  • sans limite de longueur ou de format,
  • sans dépendre des fonctionnalités et de l’algorithme obscur des plateformes tierces,
  • pour te positionner comme experte de ta thématique et communiquer sur tes valeurs,
  • créer de la confiance et de la fidélité avec ton audience,
  • tout en favorisant le référencement naturel de ton site sur Google,
  • et en facilitant le partage de ces contenus sur les réseaux sociaux.

Bref, un peu le « graal » non ? (Mais attention, avoir un blog nécessite aussi du temps et de la consistance pour obtenir ces résultats)

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Alors si tu veux (re)lancer ton blog, voici 6 conseils et pistes d’action pour bien commencer ou continuer à bloguer:

#1: Savoir pourquoi (et pour qui) tu veux avoir un blog

Cela te paraît évident ? Et pourtant, plein d’entrepreneuses ouvrent un blog sans vraiment réfléchir à leur objectif. C’est le meilleur moyen pour le laisser tomber très rapidement… Alors si, toi aussi, tu prenais le temps de réfléchir à ta stratégie éditoriale ?

#2: Définir ta ligne éditoriale

C’est à dire tout simplement les thématiques/sujets que tu vas aborder dans ton blog. En évitant d’avoir un blog trop « fourre-tout », tu vas te faciliter la vie (en simplifiant, par exemple, ta veille informationnelle). Tu vas également faciliter la vie de tes lecteurs. Car ils sauront en un clin d’œil ou presque si tes préoccupations rencontrent les leurs et s’ils ont intérêt à te suivre.

Enfin, tu vas simplifier ton référencement. Il est plus facile de travailler le positionnement d’un site sur un nombre limité de mots-clés/expressions-clés. Cette ligne éditoriale va d’ailleurs apparaître dans les catégories que tu choisiras pour classer tes articles. Si, c’est important, d’avoir des catégories!

Pour aller plus loin, lis l’article Comment définir une ligne éditoriale efficace.

#3: Écrire une page « À propos »

Oui, elle est utile, et oui elle est régulièrement lue ! Elle doit à la fois être informative (c’est à dire expliquer qui tu es et ce qu’on va trouver sur ton blog) et convaincante. Pour donner envie de te suivre régulièrement. Euh, j’espère que c’est le cas de ma propre page À propos ^^ (n’hésite pas à me faire part de ton retour en commentaire!).

#4: Soigner ton design et tes photos

Pas besoin de te faire un dessin: un joli blog donne envie de s’y attarder. Si tu possèdes déjà une identité visuelle (ou que ton blog est associé à ton site), tant mieux, cette étape sera moins longue. Si ce n’est pas le cas, fais appel à tes compétences, à celle d’un graphiste ou opte au moins pour la sobriété.

Pour les illustrations, deux options: autant que possible utiliser tes propres photos ou cherche des illustration sous licence Creative commons. Tu peux en trouver notamment sur Unsplash.

#5: Publier régulièrement !

Oui c’est l’étape la plus difficile et pourtant elle est indispensable. Pour te faciliter la vie, je te conseille d’avoir un planning ou calendrier éditorial.

#6: Partager tes publications

Hormis ta maman et tes fans absolus, peu de personnes viendront directement et d’elles-mêmes lire ton blog. Une fois un nouvel article écrit et publié, il va falloir en faire la promotion. Par exemple en le partageant sur tes réseaux sociaux. Ou encore en envoyant le lien par mail ou message privé aux personnes susceptibles d’être intéressées par le sujet (ou à celles que tu cites dans ton post). Tu peux mettre un lien sur un post qui aborde le même sujet ou encore l’intégrer à ta prochaine newsletter.

Tu as bien envie de lancer ton blog ou de le reprendre sérieusement, pour en faire un véritable canal de communication et d’acquisition ? Réserve ton appel découverte pour me parler de ton projet 🙂


Comment passer moins de temps sur les réseaux sociaux

Comment passer moins de temps sur les réseaux sociaux

Incontournables mais souvent agaçants, les plateformes sociales ont pour objectif de capter notre attention (et nos données!). Voici 10 idées pour prendre de la distance, passer moins de temps sur les réseaux sociaux et perdre moins d’énergie à les utiliser.

L’été arrive et avec lui l’envie de prendre du temps pour toi, ta famille, du recul sur tes projets… Et, peut-être, en profiter pour passer moins de temps sur les réseaux sociaux ?

Instagram vient tout juste de lancer sa nouvelle plateforme Threads (un clone de Twitter). Mais elle n’est pas encore disponible en Europe en raison du trop grand nombre de données aspirées !

Overdose informationnelle sur les réseaux sociaux

Cette actualité m’interroge sur mes propres usages. Et sur cette sensation d’overdose informationnelle que je ressens régulièrement !

Pas facile de ne pas se laisser happer par les fonctionnalités, toujours plus nombreuses, toujours plus séduisantes et toujours plus chronophages des réseaux sociaux !

Surtout quand l’algorithme récompense les comptes qui utilisent les formats les plus populaires et publient le plus souvent…

Pas étonnant quand on sait que ces plateformes n’ont qu’un but : nous faire passer l’essentiel de notre temps connecté dans leurs filets. Elles ont besoin tant de notre attention -ou temps de cerveau disponible- que de nos données personnelles et de navigation. Car c’est ce qu’elles vendent à leurs clients.

Et s’il existait des moyens de retrouver un peu de liberté, de distance et de contrôle dans ton usage des réseaux sociaux ?

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10 pistes pour passer moins de temps sur les réseaux sociaux

Je n’ai bien sûr pas de recette miracle à te donner, mais voici 10 solutions pour adopter une nouvelle hygiène des réseaux sociaux:

1/ Définir de manière précise ta stratégie de présence et de communication sur les réseaux sociaux

As-tu vraiment besoin d’être partout ? Par exemple, il peut être utile d’avoir un compte Twitter pour permettre à tes partenaires et clients de t’identifier en cas de besoin. Cela ne signifie pas que tu es obligée d’y être active si tu n’apprécies pas ce réseau. Ou que tu n’as simplement pas le temps de t’y consacrer.

2/ Fermer tes comptes ou les mettre en pause

Ou une partie d’entre eux. C’est ce qu’avait décidé, voici longtemps déjà, Anouk, fondatrice de Talented Girls. Depuis 2016, elle n’alimente plus sa page Facebook pour se recentrer sur sa newsletter (et parfois Instagram). Autre exemple, plus récent : celui d’Alexandra Martel, qui a instauré un système « on/off » sur son compte IG.

3/ Désinstaller les applications

C’est vraiment tout simple à faire et cela fait un bien fou ! Plus d’icône ou de notifications qui font de l’œil sur l’écran du smartphone. Et la nécessité de devoir passer par le navigateur web pour consulter, ça aide vraiment à se connecter moins souvent ! Pour ma part, j’ai désinstallé Facebook et Twitter, mais j’ai gardé Instagram et Linkedin.

4/ Privilégier Instagram

Comme le soulignait Florence Servan-Schreiber un été, Instagram est une vitrine esthétique et graphique, une « parade contre la folie du monde ». Certes, cela revient un peu à se cacher dans une bulle assez artificielle… Mais quitte à vouloir/devoir rester connecté avec son réseau et sa communauté, autant le faire joliment !

5/ Faire des cures de détox régulières

Est-ce si compliqué de s’autoriser à disparaître de temps en temps de la vie online ? Morgane Sifantus en est la spécialiste et elle a d’ailleurs témoigné sur sa manière de communiquer sans les réseaux sociaux !

6/ Adopter des horaires de connexion

Cela a l’air tout simple. Par exemple, du lundi au vendredi, 8-18h). Mais personnellement, je ne crois pas être assez disciplinée pour ça. Et toi ?

7/ Nettoyer tes publications

Histoire de contrôler les traces que tu laisses à la postérité. Et à la vue de tes contacts, forcément de plus en plus nombreux avec le temps !

Voici quelques années, je l’ai fait sur Facebook. J’ai commencé par supprimer la quasi-totalité des photos mises en ligne depuis mon inscription (2008 quand même !). Cela va vite quand il s’agit de supprimer un album entier, mais pour les photos du journal, pas le choix, c’est une par une!

Je fait aussi régulièrement le ménage sur mon compte Instagram

8/ Nettoyer tes contacts

As-tu vraiment besoin de suivre autant de comptes, de pages ? Le meilleur moyen de passer moins de temps sur les réseaux sociaux est d’améliorer la qualité de ton fil. En sélectionnant de manière plus exigeante les personnes que tu suis.

9/ Poster moins et mieux

Comme le souligne Rubin Sfadj dans cet article consacré à son expérience de diète des réseaux sociaux, la qualité d’expérience des réseaux sociaux dépend de la manière dont les gens les emploient. Il nous encourage donc à être plus exigeants avec nous-même. En publiant moins souvent, en s’interrogeant sur l’apport réel du post ou du commentaire que nous nous apprêtons à poster. Ou encore en veillant à la qualité de sa publication : privilégier la rédaction d’un post de blog plutôt qu’un simple partage de lien ou un statut lapidaire, s’efforcer de réaliser ou sélectionner de belles photos, publier une vidéo… Vaste programme!

10/ Trouver des substitut de meilleure qualité

Consulter les réseaux sociaux est souvent une solution de facilité pour s’occuper dans les situations d’inaction (dans le bus, la salle d’attente du médecin,…). Et si on en profitait plutôt pour lire des contenus plus longs, plus propices à la réflexion, bref de meilleure qualité ? Par exemple, en prenant le temps de savourer des « slow medias ».

Et pour la communication sur ton projet, as-tu envisagé un blog ou une newsletter pour passer moins de temps sur les réseaux sociaux ? Si tu en as besoin, on peut en parler à l’occasion d’un appel découverte 🙂