Bonne nouvelle: pour de plus en plus d’entrepreneurs -et sans doute la majorité des entrepreneurs créatifs-, la principale motivation qui les anime au quotidien n’est pas de gagner BEAUCOUP d’argent (puis d’aller le planquer au Panama uhuh).
Au contraire, il s’agit avant tout de partager leur talent, de promouvoir leurs valeurs par leur travail, d’apporter un peu plus de bien-être, de beauté, de confort, de joie de vivre, de confiance, de connaissance… à leur communauté. Voire même de changer le monde!
Cet article de Reporterre sur le développement du véganisme en France explique ainsi comme les fondateurs de boutiques ou restaurants vegan se sont lancés sous l’amicale pression de leurs futurs clients, à la recherche d’une offre de produits correspondant à leurs convictions.
Concilier entrepreneuriat et convictions
S’engager pour la collectivité ne se résume plus à être bénévole dans une association, syndicaliste ou encarté dans un parti politique. Entreprendre peut aussi avoir du sens et un impact sur la société. Il existe même un terme pour désigner ces entreprises qui n’ont pas pour seule finalité le profit, mais aussi la solidarité et le progrès social. On l’appelle le secteur de l’Économie sociale et solidaire (ESS). Il totalise environ 200 000 structures (entreprises, associations, fondations, coopératives, mutuelles…) et représente 10% du PIB et 12,3% des salariés du secteur privé.
Et vous avez-vous envie (ou décidé) d’entreprendre pour donner vie à vos convictions?
Pour aller plus loin, quelques liens inspirants:
4 façons de changer le monde via l’entrepreneuriat, à lire sur Fractale
Créer son entreprise pour changer le monde, par L’Express-L’Entreprise
L’interview de l’homme qui voulait changer le monde en 2 heures, sur Up le Mag
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